La
Tunisie maintient largement le subventionnement des prix, le secteur financier est entièrement géré par le gouvernement et l’économie est protégée par des droits de douane très élevés et des restrictions d’importation.
Cependant, l’économie bénéficie de résultats positifs grâce aux deux chocs pétroliers mais aussi grâce à des recettes touristiques très élevées.
Dès le début des années
1980, le gouvernement considère la privatisation des entreprises étatiques pour mettre fin à leur endettement. Parmi les secteurs concernés on retrouve surtout le tourisme et la mécanique.
En
2006, le produit intérieur brut du pays était de
36,522 milliards de dollar, dont
48,9% pour les services et plus que
16,3% provenant de l’agriculture.
Les sociétés de
location de voitures en Tunisie ont alors un excellent avenir.
A savoir, le réseau routier s’étend sur
19 300 kilomètres dont
12 655 kilomètres de routes goudronnées ainsi que de
trois autoroutes reliant
Tunis à M’saken au sud (prolongée jusqu'à
Sfax fin
2007), Bizerte au nord ou Oued Zarga à l’ouest.
Le secteur du transport routier domine les transports terrestres de voyageurs et de marchandises. Il est néanmoins contrôlé par les sociétés étrangères à cause du petit nombre d’entreprises tunisiennes.